Malgré l'habile subterfuge de
l'ancien Président, se présentant au concours d'entrée de l'IEP
parisien sous le sobriquet cocasse de Colanis Sarkozo, sa présence à
Vile-Pinte n'a pas échappée aux envoyés spéciaux du radeau. Une
présence en définitive vaine, puisque Nicolas Sarkozy (n'ayons pas
peur des mots) s'est vu recalé à cause d'une note éliminatoire
dans la langue de Shakespeare. Rappelons pour le plaisir que le jeune
Sarkozy était déjà sorti non diplômé de la cette école pour la
même raison.
Percé à jour.
C'est conseillé par erreur par Henri
Guaino que l'ancien hyper-président se voulut devenir
super-étudiant. Consterné qu'un type comme François Hollande, au
curriculum vitae pourtant
brillant, puisse être encore moins populaire que lui, « le
petit Nicolas » comme l'appelait sa maman, a décidé de
repasser les épreuves de Sciences-Po en vue de 2017, pensant que
cela pourrait l'aider à devenir « toujours plus
casse-couilles » nous
livre Malin Minc.
Incognito, affublé
en jeune comme un autre (ray-ban aviator, polo au col relevé,
pantalon beige, mocassins et cigare Havana) l'ancien président s'est
présenté au concours, « confiant » selon ses proches,
après que son dossier a été gratifié de la note A. Ses stages
ouvriers en tant que vendeur de glaces sur les plages de St-Tropez
auraient participé à mettre en valeur son profil.
Mais l'interview
d'un candidat que nous appellerons Christian, à la sortie de
l'épreuve d'anglais n'a pas tardé à mettre la puce à l'oreille de
nos grands reporters: « Yolo y'avait un keum chelou devant
moi. »( Christian non plus n'a pas été reçu) « Genre y
stressait sa mère, il arrêtait pas de faire un putain de truc avec
son épaule. Genre le mec se croit à la gym. Bollosse quoi ».
C'est grâce à ce portrait robot fidèle, et malgré un départ en
skate-board bien mis en scène par Frank l'Ouvrier, que l'identité
du président-candidat fut dévoilée.
Maudite Albion
Englaisé dans
la conjugaison du futur à propos duquel on le sait incertain,
Nicolas Sarkozy n'est pas parvenu à dépasser la fatidique note de
7/20. « It was bullshit » a sobrement témoigné
l'enseignant-correcteur que nous sommes parvenu à contacter.
Barack Obama se
serait bien payé sa tête.
George Psalmanazar.
George Psalmanazar.
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